Poéme

Mon chéri, j’aime quand tu es là,
Quant tu es présent, tout prêt de moi.
On dit que l’amour fait pousser des ailes,
Avant toi j’étais qu’un être frêle.


Rappelle-toi de cette nuit ou la fièvre est montée,
Ou tes mains ont commencées.
À doucement explorer,
Toutes les parties de mon corps blessé.

Ce désir en moi est monté,
Je t’ai demandé de ne pas t’arrêter.
On allait tout les deux tué notre virginité,
Mais on était là, on était prêt.

Alors doucement tu es venu,
Forcé ce passage inconnu.
Tout doucement nos corps ne faisaient plus qu’un,
J’étais heureux et on était bien.

Après cette soirée,
Où tu m’a enlevé ma virginité,
Notre amour c’est consolidé
Pour ne plus jamais se briser

Plus tard nous nous sommes mariés,
Puis on a vécu une histoire cachée.
Car tout le monde ne pouvait pas accepter,
Que tout les deux on était gays.

Mais on était heureux on s’aimait,
Jusqu’au jour ou tout a basculé.
Un homme, un homophobe, une saleté
N’a pas accepté de nous voir nous embrasser.

Il a commencé à nous frapper,
Sous prétexte qu’on n’était pas dans la « normalité ».
Tu es mort parce que tu étais gay,
Je suis mort de peine car tu n’es plus à mes côtés.